La satire de la femme dans le théâtre de georges courteline

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a) On a déjà terminé notre recherche sur la satire de la femme dans le théâtre de Courteline. Bien sûr, nous touchons la misogynie de cet auteur pour les femmes. Elles sont traitées, d’après lui, d’une manière sévère, puisqu’il était un observateur qui observe, toujours l’être humain d’un oeil critique, quelquefois, féroce.
Comme on a touché, Courteline a entouré la femme dans un portrait qui la définit trompeuse comme la duperie d’Adèle à Boubouroche, avec son amant André. Boubouroche; 1893.
Nous avons vu encore, que la femme selon Courteline est dépensière et ne s’intéresse pas au règlement de sa maison. C’est le cas de Valentine dans La paix chez soi; 1903.
Elle exploite le point de faiblesse de son mari Trielle qui l’adore essayant d’assurer pour elle le plaisir de vie.
Le troisième aperçu que l’ami, Courteline a jetè sur la femme s’est opposé, un peu, avec l’image pessimiste qu’il lui a incarné et qui s’est trouvé, souvent, dans ses écrits et ses pièces sur la femme.
Cette fois, Georges Courteline n’a pas pu cacher que les femmes, d’après lui, sont aimables et qu’il a gardé pour elles une finesse de sentiments, qu’il a essayé de la cacher dans une incarnation forte et hainee.
C’est ce qu’on a découvert dans le personnage de Margot qui est tombée victime de l’amour et esclave de son amant Laurianne. La Cruche; 1909.
Courteline n’a pas oublié d’aborder le côté de l’homme et son rapport avec la femme en penchant sur le couple et ses problèmes.
Il a montré la mesquinerie et la médiocrité de Boubouroche devant la trahison d’Adèle. En même temps, l’auteur a désigné la lâcheté de Trielle avec Valentine.
On a remarqué la jalousie du marie sur son épouse dans La peur des coups; 1895.
Finalement, la soumission de l’amant Laurianne à sa maîtresse Margot était le dénouement d’un acte d’amour
réciproque des deux amis { Laurianne et Lavernité } pour une seule femme{ Margot
Ce sont trois scènes de ménage qui ont occupé une grande valeur dans le théâtre féminin de Courteline. Mais la chose la plus observée dans ces actes est la domination de l’amour.
Malgré que l’auteur a présenté la femme dans ces pièces d’une manière infavorable, on ne peut pas affirmer qu’il était, purement, un détestable du personnage féminine, puisqu’il a montré, à chaque fois, la faiblesse et la bonté de l’homme, provoquant par l’amour excitée devant la force naturelle la plus effective dans le monde du mariage. C’est la force féminine. 

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